segunda-feira, 10 de novembro de 2008

Às vezes não consigo dizer o que sinto. As palavras fogem, não sei. Sabem quando estamos nadando e, na hora de pegar ar, em vez de ar engolimos água? Aí fica aquela agonia, o nado desanda, e só descansamos quando finalmente respiramos. 
Por isso recorro à música. E agora uma música especial, de uma menina aqui de Quebec. Talvez ela me ajude...

Não conheço o dia de amanhã. Não sei quais serão os ventos. O importante é navegar, navegar, mesmo não sendo preciso, e ir com fé na direção onde os ventos hoje apontam...

Alors tu vois, comme tout se mele
Et du coeur a tes levres, je deviens un casse-tête
Ton rire me crit, de te lacher 
Avant de perdre prise, et d'abandonner
Car je ne t'en demanderai jamais autant
Déja que tu me traites, comme un grand enfant
Nous avons trop rien, a risquer
A part nos vies qu'on laisse de coté

Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort

C'en est assez de ces dédoublements
C'est plus dure à faire, qu'autrement
Car sans rire c'est plus facile de rêver
A ce qu'on ne pourra, jamais plus toucher
On se prend la main, comme des enfants
Le bonheur aux lèvres, un peu naivement
Et on marche ensemble, d'un pas décidé
Alors que nos têtes nous crient de tout arrêter

Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort

Encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
Malgré sa il, m'aime encore, et moi je t'aime un plus fort
Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort 

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